Friday, August 15, 2008 2:01:37 PM
BIG NEWS COMING PLANT HAS ARRIVED
http://www.cyberpresse.ca/article/20080814/CPTRIBUNE/80814178
Here is Michel Boux the brains and rubber specialist of MDOR.OB
Magnum Recycling Canada s'installe dans une des anciennes usines de GDX à Magog, mentionne le patron, Michel Boux.
La Tribune, Jean-François Gagnon
Jean-François Gagnon
La Tribune
MAGOG
De dispendieux et lourds appareils de production sont arrivés à l’ancienne usine de GDX sur la rue René-Patenaude à Magog cette semaine.
À l’intérieur d’un délai maximal de trois mois, Magnum Recycling Canada commencera à transformer de vieux pneus.
Le grand patron de la future usine, Michel Boux, affirme que les deux machines reçues hier sont des «pièces fort importantes». Elles serviront à déchiqueter les pneus. On les taillera en petits morceaux qui seront utilisés comme paillis dans les jardins ainsi que pour absorber les chocs sous des jeux pour enfants.
«Comme paillis, ces petits copeaux sont vraiment très intéressants. Parce qu’ils sont faits de caoutchouc, ils sont très durables. En plus, ils n’absorbent pas l’eau, ne moisissent pas et ne se décolorent pas. On pourra les offrir dans un large choix de couleurs», explique M. Boux.
Le président de Magnum Recycling Canada attendait la livraison de trois camions remplis de pneus. Dès sa première année d’activité, son usine aura normalement besoin d’un total de 20 000 tonnes de pneus.
Déjà, des personnes intéressées à travailler chez Magnum ont acheminé leur curriculum vitae à Michel Boux. Ce dernier souligne qu’il aura besoin non seulement d’opérateurs de machines, mais de techniciens et d’ingénieurs.
En ce qui concerne les opérateurs, ils devraient toucher un salaire de 12,50 $ de l’heure à leur entrée en poste. La direction ne cache pas qu’elle souhaiterait réembaucher plusieurs anciens de GDX, une compagnie qui oeuvrait aussi dans le secteur du caoutchouc.
Le processus d’embauche ne sera pas lancé avant un mois.
Michel Boux indique que la production s’amorcera avec un nombre restreint de personnes et que, au terme de la première année de production, une quarantaine de travailleurs seront normalement à l’emploi de Magnum à Magog. «Et, après l’an deux, on sera à 80 ou 100 employés environ.»
Selon les informations dévoilées par M. Boux, Magnum attirera à Magog certaines compagnies partenaires, telles l’entreprise Artech. L’arrivée de ces entreprises supplémentaires entraînerait la création d’emplois additionnels.
Les plans de la direction de Magnum sont de conserver l’ancienne usine de GDX à long terme. Les dirigeants de la compagnie ont malgré tout l’intention, dans un horizon de deux ans, de construire une seconde usine au coût de 35 millions $.
«On voudrait faire l’usine de recyclage de caoutchouc la plus moderne au monde», lance Michel Boux.
http://www.cyberpresse.ca/article/20080814/CPTRIBUNE/80814178
Here is Michel Boux the brains and rubber specialist of MDOR.OB
Magnum Recycling Canada s'installe dans une des anciennes usines de GDX à Magog, mentionne le patron, Michel Boux.
La Tribune, Jean-François Gagnon
Jean-François Gagnon
La Tribune
MAGOG
De dispendieux et lourds appareils de production sont arrivés à l’ancienne usine de GDX sur la rue René-Patenaude à Magog cette semaine.
À l’intérieur d’un délai maximal de trois mois, Magnum Recycling Canada commencera à transformer de vieux pneus.
Le grand patron de la future usine, Michel Boux, affirme que les deux machines reçues hier sont des «pièces fort importantes». Elles serviront à déchiqueter les pneus. On les taillera en petits morceaux qui seront utilisés comme paillis dans les jardins ainsi que pour absorber les chocs sous des jeux pour enfants.
«Comme paillis, ces petits copeaux sont vraiment très intéressants. Parce qu’ils sont faits de caoutchouc, ils sont très durables. En plus, ils n’absorbent pas l’eau, ne moisissent pas et ne se décolorent pas. On pourra les offrir dans un large choix de couleurs», explique M. Boux.
Le président de Magnum Recycling Canada attendait la livraison de trois camions remplis de pneus. Dès sa première année d’activité, son usine aura normalement besoin d’un total de 20 000 tonnes de pneus.
Déjà, des personnes intéressées à travailler chez Magnum ont acheminé leur curriculum vitae à Michel Boux. Ce dernier souligne qu’il aura besoin non seulement d’opérateurs de machines, mais de techniciens et d’ingénieurs.
En ce qui concerne les opérateurs, ils devraient toucher un salaire de 12,50 $ de l’heure à leur entrée en poste. La direction ne cache pas qu’elle souhaiterait réembaucher plusieurs anciens de GDX, une compagnie qui oeuvrait aussi dans le secteur du caoutchouc.
Le processus d’embauche ne sera pas lancé avant un mois.
Michel Boux indique que la production s’amorcera avec un nombre restreint de personnes et que, au terme de la première année de production, une quarantaine de travailleurs seront normalement à l’emploi de Magnum à Magog. «Et, après l’an deux, on sera à 80 ou 100 employés environ.»
Selon les informations dévoilées par M. Boux, Magnum attirera à Magog certaines compagnies partenaires, telles l’entreprise Artech. L’arrivée de ces entreprises supplémentaires entraînerait la création d’emplois additionnels.
Les plans de la direction de Magnum sont de conserver l’ancienne usine de GDX à long terme. Les dirigeants de la compagnie ont malgré tout l’intention, dans un horizon de deux ans, de construire une seconde usine au coût de 35 millions $.
«On voudrait faire l’usine de recyclage de caoutchouc la plus moderne au monde», lance Michel Boux.
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